Nous sommes en juillet 1958. Un convoi de six DS noires – le vaisseau-amiral de Citroën – s’arrête devant le domicile d’Antoine Chatel, alors maire de Chartres-de-Bretagne. À bord : André Bercot, PDG de Citroën, et des collaborateurs.
Ils viennent présenter à l'élu breton un gigantesque projet : la construction d'une usine automobile sur plus de 200 hectares à La Janais, lieu-dit jusqu'ici paysan. Soit, sur un tiers de la surface de la commune du sud de Rennes. L'histoire industrielle s'écrit à compter de cette rencontre inattendue (lien externe).